Formule ancienne énonçant une vérité admise, un principe d’action ou une règle qui porte un contenu juridique.

Jurisconsulte italien , professeur de droit en France, l’un des premiers représentants de l’humanisme juridique, en réaction aux bartolistes.

De mon mieux.

Figure par laquelle on approche en les opposant deux mots, expressions ou idées contraires pour leur donner un relief supplémentaire.

Art de former des caractères d’écritures élégants.

Qui repose sur le consentement des parties.

Personne ayant refusé de comparaître devant la justice en fuyant celle-ci, et étant condamné en son absence.

Désigne l’union physique.

Tentures.

Voir thalamus.

Jonction des mains droites entre conjoints

compilAction élaborée sur l’ordre de l’Empereur Justinien des principales lois et traités romains.

Manœuvre frauduleuse.

Voir thalamus.

Droit d’usufruit sur ses biens qu’un mari assignait à sa femme par son mariage et dont elle jouissait si elle lui survivait.

D’abord fiancée avec le Dauphin Charles, Marguerite, elle est évincée après un séjour en France au profit d’Anne de Bretagne, elle se rend au Pays-Bas puis en Espagne. Mariée deux fois de manière éphémère, elle n’a pas d’enfant, mais s’impose comme mécène à la tête d’une riche collection de primitifs.

Représentation d’une figure à valeur symbolique particulière, le cas échéant accompagnée d’une légende, en forme de sentence.

Science auxiliaire de l’histoire ayant pour objet l’étude des inscriptions anciennes, gravées ou parfois peintes sur des supports durables.

Offrande faite à Dieu à la suite d’un vœu.

Promesse solennelle de mariage échangée entre futurs époux.

« Dieu créa l’homme à son image, homme et femme, il le créa à l’image de Dieu. Il le créa homme et femme. »

« C’est pourquoi l’homme laissera son père et sa mère et s’attachera à sa femme, et les deux ne feront plus qu’un. »

Manteau court porté par les hommes.

Coiffe qui enserre la tête de la femme, typique de l’époque médiévale.

Jan van Eyck fut ici ou fut celui-ci, 1434.

Action de légitimer un enfant par le mariage subséquent de ses parents.

A Rome, le terme désigne les citoyens de fraîche date élevés par l’affranchissement au statut d’homme libre.

Ensemble réglé des cérémonies et des prières indispensables au déroulement du culte et, par extension à l’accomplissement de certains actes.

Juriste humaniste érudit qui mène sa carrière au Parlement de Paris. Son ouvrage le plus célèbre reste ses Institutes coutumières (1607)., qui recense plus de neuf cent maximes.

Coffre en bois massif sur pied utilisé le cas échéant pour pétrir et conserver le pain.

Terme qui indique en latin la possession, et qui indique particulièrement le pouvoir que détient la paterfamilas ou l’époux sur sa femme, dont découle la distinction entre mariage cum ou sine manus.

Mariage non public très répandu au Moyen-Age qui pose d’insolubles questions de preuves.

Montants qui divisent la baie d’une fenêtre, en pierre ou en bois.

Pensée juridique.

Mariage d’une personne avec quelqu’un de rang inférieur, qui l’exclut de tout héritage.

Science qui étudie les monnaies anciennes et les médailles.

Les mariages sont la conjonction de l’homme et la femme pour toute la vie, une association de toute l’existence, la mise en commun de toutes choses, divines et humaines

Qui se rapporte aux noms propres.

Poète latin contemporain des débuts de l’Empire romain.

Historien de l’art allemand exilé aux Etats Unis, à l’origine de l’iconologie.

Art de représenter un objet ou une scène dans ses trois dimensions au terme d’un ensemble de techniques picturales, de manière à créer l’illusion optique de l’espace ou du volume à partir d’un point précis.

Qualificatif qui désigne le mouvement pictural occidental caractéristique des XIVème et XVème siècles, d’abord en Italie puis étendu à l’Europe, et particulièrement aux Flandres, qui précède et prépare la Renaissance, centré sur la perspective et l’utilisation de la peinture à l’huile permettant une précision méticuleuse.

Devinette graphique en forme d’énigme, dont la résolution directe ou homonymique, permet d’en saisir la clef.

Le mariage est qualifié de sacrement par l’épître aux Ephésiens (5, 33), et en usage au XIIème siècle, le mariage est le signe sacré de l’union du Christ et de l’Eglise. Innocent III le range dans les sacrements au nombre de 7 en 1210.

Chaussure à semelle de bois.

Vêtement destiné à couvrir un une cotte à l’époque médiévale.

Terme d’origine grecque désignant une chambre à coucher, qu’il s’agisse du dormitorium, celle où les époux se reposent, ou du cubiculum, celle où ils se tiennent.

Conseiller au Parlement de Guyenne, il s’impose comme un grand juriste de son temps par ses nombreuses publications portant tant sur les coutumes que sur les droits savants. Membre actif du cercle de Fontenay-Le-Comte, il influence largement le Tiers Livre, forme de pendant à sa propre réflexion sur le mariage : De legibus connubialibus, Venise, Giovanni Battista Somasco, 1588.

Unité de chair.

Fondateur de l’école flamande, Jan Van Eyck, qui naît vers 1390 à Maastricht (Masseyck) et meurt en 1441 à Bruges, entre au service de Jean III de Bavière en 1422, puis prend les fonctions de valet de chambre de Philippe le Bon de Bourgogne, alternant missions diplomatiques et peinture de cour. On lui suppose un frère, Hubert, mais les éléments biographiques manquent.

Qui commémore l’accomplissement d’un vœu.